Les radars embarqués confiés à des sociétés privées

Radars enbarque

Manuel Valls, a décidé de confier cette activité à des sociétés privées. 

Dissimulés derrière la plaque d'immatriculation d'un véhicule banalisé, certains radars mobiles traquent dans les deux sens, de jour comme de nuit, les excès de vitesse. Un dispositif jusque là géré par la police, mais qui, faute d'effectif, ne fonctionne en moyenne que deux heures par jour. Pour remédier ce problème, le Premier ministre, Manuel Valls, a décidé de confier cette activité à des sociétés privées. 

 les contrôles de vitesse opérés avec des radars mobiles. Embarqués à bord de véhicules banalisés, ces radars permettent de flasher un automobiliste en excès de vitesse sans que celui-ci ne s'en rende compte.

 L'objectif est de multiplier par trois ou quatre les heures de sortie de ces véhicules qui circuleront sur nos routes nuit et jour". L'État compte également augmenter le parc. En 2015, 319 véhicules étaient équipés de flashs infrarouges. D'ici à 2018 121 voitures supplémentaires vont être mises en circulation, soit 440 automobiles au total

 

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