Sixième grande extinction de la vie sur notre planète

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Toute science est un moyen orientez vers une fin et la fin c'est le contrôle.!
 

Le monde de la « science » nous a donné l'arme atomique, les OGM, les vaccins, les produits chimiques toxiques, les pesticides de synthèse et les drogues de psychiatrie. Il s’est servi de gens innocents dans des expériences médicales mortelles et a déchaîné une pollution génétique généralisée sur notre monde par suite à la prolifération négligente des organismes génétiquement monstrueux. Mais les scientifiques affirmaient qu'ils créaient un monde meilleur.

« Mieux vivre grâce à la chimie, » disaient-ils il y a vingt ans. Et aujourd’hui, une génération plus tard, nous sommes face à un délabrement de la vie si grand et si désastreux, qu'il est qualifié de sixième grande extinction de la vie sur notre planète. Comment la science a-t-elle pu paver la voie à une destruction planétaire pareille ? Le Dieu Intérieur, cherche à établir pourquoi la science est si destructrice et dangereuse. Il commence par dénoncer la fausse philosophie présentée par un physicien célèbre, Stephen Hawking, qui soutient que les êtres humains sont des robots biologiques, sans conscience, sans volonté, sans esprit et sans âme.

Selon ses propres écrits, dans son livre, The Grand Design (Le grand dessein) : Il est difficile d'imaginer comment peut fonctionner le libre arbitre si notre comportement est déterminé par les lois physiques, il semble donc que nous ne soyons guère plus que des machines biologiques et que le libre arbitre n'est qu'une illusion. Comme la plupart des scientifiques classiques, Hawking pense que les êtres humains ne sont pas des êtres conscients.

Ainsi, nous serions incapables d'empathie, d'amour, de peine, de souffrance ou de prendre nos propres décisions fondées sur le libre arbitre. Cette absence totale de reconnaissance de la valeur de la conscience chez les êtres vivants est le principe diabolique fondamental sur lequel est édifiée la plus grande partie de la science moderne. C’est le manque d'empathie lui-même qui donne naissance aux grands maux. Chose intéressante, c'est précisément la conclusion d'un membre de la communauté scientifique. Simon Baron-Cohen, professeur de psychologie à l’université de Cambridge, a écrit un nouveau livre dans lequel il conclut que le mal provient d'un manque d'empathie.

Il explique que les psychopathes sont « au degré zéro d'empathie, » ce qui veut dire qu'ils ne reconnaissent pas la valeur des pensées et des sentiments d’autrui. Il se trouve justement que c’est le principe fondamental de la science classique, qui estime que les sentiments et les pensées sont de simples « ricochets biologiques » de la chimie du cerveau, dépourvus de toute âme, intention ou conscience. Ainsi, le principe fondamental de la science classique, telle qu’elle est pratiquée aujourd'hui, est psychopathe et délirant. C'est pourquoi tant de nombreuses branches dites de la pensée « scientifique » : Quête des OGM, vaccination de masse faisant du tort aux enfants innocents, empoisonnement chimique généralisé du monde naturel, sont d’une nature psychopathe si manifeste.

Déchaîner sur le monde la contamination génétique, avec des semences incluant la technologie Terminator, est un acte dangereux d'une industrie psychopathe opérant sans aucune empathie à l'égard des créatures vivantes. Du fait de ses applications, la science moderne est psychopathe Le psychopathe est défini comme « Une personne affectée d’un trouble antisocial de la personnalité, qui se manifeste par un comportement pervers, criminel, amoral ou agressif, sans empathie ni remords. » Cela décrit aussi parfaitement les agissements de nombreuses entreprises opérant sous couvert de « science. » Les compagnies de semences OGM, de pesticides, les fabricants de fluorure chimique, de drogues psychiatriques, de chimiothérapie et de vaccins, sont effectivement « psychopathes » par leur comportement.

Tous affirment pourtant opérer comme des entités « scientifiques, » et traitent agressivement de « non scientifiques » ceux qui sont en désaccord avec eux. C’est là le comportement déviant, criminel et immoral, manquant totalement d'empathie envers les êtres vivants, qui qualifie bien comme inéluctablement psychopathes certains agissements « scientifiques » de compagnies modernes. Les compagnies pharmaceutiques s’adonnent en permanence à des expériences médicales impliquant une souffrance animale généralisée. Les vaccins sont cultivés sur des organes de singes de laboratoire malades, qui sont emprisonnés vivants dans des conditions effroyablement inhumaines.

Les fabricants de vaccins font des expériences médicales sur des enfants du tiers monde. Les compagnies d’OGM font des expériences de cultures génétiques qui nuisent à la chaîne de la vie du monde naturel. Tout cela se fait sous l'aile de la « science, » et pourtant tout ça est de nature psychopathe et complètement dénué du principe élémentaire de reconnaissance de la conscience ou de l’âme. En d'autres termes, la maladie et les remèdes sont enseignés à la faculté de médecine, mais on n'inculque pas aux médecins la valeur de l'expérience de la vie et l’état de conscience de leurs patients.

L'idée même que le patient puisse avoir un « esprit » ou une « âme » est si étrangère à la médecine moderne, que le système médical classique entier nie absolument l'existence du traitement [holistique] de l’esprit et du corps... en quelque sorte comme si l'esprit n'existait pas. Ce déni de l'existence de l'esprit (et de son interaction avec le corps) est une sorte de folie scientifique qui infecte la pensée des médecins et des chercheurs en médecine moderne.

Mais ça ne se borne naturellement pas à la médecine : Cette illusion sévit aussi dans la communauté de la science physique. Le monde artificiel créé par cette pensée tend à conforter la conviction du croyant. Toutes les expériences du croyant confirmeront son paradigme. Or, le monde peut être très différent. J’avais déjà évoqué ici, dans la note, le cas des Tobriandais, une peuplade des Îles Salomon à la vie très harmonieuse, étudiée par l’explorateur Malinowski, un grand ami et inspirateur du Dr Wilhelm Reich. Malinowski avait constaté qu’avant leur mariage, les Tobriandaises adolescentes ne tombaient jamais enceintes malgré une activité sexuelle naturelle, et même encouragée par les parents.

Cette peuplade ne s’imaginait tout simplement pas que les rapports sexuels sont l’unique requis à la procréation. N’étant pas polluées par des croyances infernales, ces jeunes filles ne tombaient jamais enceintes. Elles tombaient enceintes après leur mariage, volontairement en quelque sorte, quand elles désiraient avoir un enfant. Comparez cela à l’ambiance désacralisée du monde moderne, où les jeunes filles prennent des précautions pour ne pas se retrouver avec « un polichinelle dans le tiroir, » selon la dérision généralisée, et vous comprendrez jusqu’où peuvent mener les convictions scientifiques.]

Ne nous embringuons pas dans notre propre destruction en suivant aveuglément la science Le fait que de grands physiciens du genre de Stephen Hawking ont pleinement adopté l’effrayante croyance selon laquelle les êtres humains n'ont ni conscience, ni esprit, ni libre arbitre, représente un signal de danger dantesque : L’espèce humaine ne doit pas s’engager dans sa propre destruction en suivant aveuglément la « science. » La « science » nous entraîne vers un cataclysme nucléaire, le tarissement des ressources naturelles, la saturation chimique des terres arables et la décimation en cours des pollinisateurs de plantes comestibles, comme les abeilles et les chauves-souris.

La « science » nous irradie, drogue nos enfants, pollue l’espace avec les émissions électromagnétiques de la téléphonie cellulaire, contamine nos réserves d'eau et appauvrit le génome futur en contaminant sans cesse avec des produits chimiques qui abîment l'ADN. Promettant le progrès, la « science » pousse l'humanité vers sa propre destruction. La « science » est devenue la raison moderne du progrès diabolique, de la destruction de la vie sur notre planète, dans le seul but de servir un ordre du jour affairiste ou politique (aux dépens de la protection de la vie).

En d'autres termes, la science est devenue le mal. Du fait de son manque d'empathie et de son incapacité à reconnaître l'existence de l'esprit, elle pratique des choses à la limite du démoniaque, bien au-delà du simple « crime contre l'humanité. » La vie est détruite au nom de la « science » sur toute la planète, et pourtant, étonnamment, les dealers de poison qui tirent profit de cela se proclament sauveurs du monde ! Ils s’exclament : « Les gens vont crever de faim si nous ne cultivons pas des plantes génétiquement monstrueuses. »

Pourtant, en même temps, ils refusent de laisser un fermier indien garder ses propres semences d'une production à l'autre. Ils lui ont refusé le droit naturel de planter ses propres graines, année après année, sans payer des royalties à la compagnie monopolistique démoniaque qui s’est servi de la science du génie génétique pour rendre les graines stériles après une génération. Bien qu’on n’en parle pas beaucoup, les semences dites hybrides, issues de la fameuse Révolution Verte, utilisées dans toute l’agriculture moderne, sont aussi voulues Terminator, bien que ça ne marche pas toujours.

J’avais évoqué en détail ce fait avec ses conséquences dans la note 2) de Roundup, le désastre absolu.] Il s'agit d'un paradigme de mal absolu, mis à exécution au nom de la science. Et il est organisé par des êtres humains véritablement diaboliques, qui sont littéralement psychopathes en ce sens qu'ils n'ont pas la capacité de faire grand cas de la vie ou des expériences d’autrui. Ce sont des démons qui rôdent dans notre monde, détruisant tout sur leur passage, attaquant ceux qui osent protéger la vie.

Si nous voulons un avenir viable sur notre planète, ces démons doivent être métamorphosés ou détruits. Il faut dénoncer la marche « scientifique » aveugle, sans âme Il est temps pour nous, citoyens de la planète, de dénoncer la philosophie aveugle, sans âme, de la communauté scientifique et d’adopter une philosophie plus sage, plus avancée, qui reconnaisse la réalité de la conscience... à propos, pas seulement la conscience humaine, mais aussi la conscience de tous les êtres vivants, animaux, arbres et plantes. Georges Ivanovitch Gurdjieff, qui parlait souvent de l’horreur de la situation humaine, a évoqué brièvement dans ses écrits les fameux abattoirs de Chicago, un lieu hygiénique et moderne où des trains de troupeaux entre à un bout, tandis que de délicieuses saucisses et de la barbaque hachée à macdo sortent en train à l’autre bout.

Il a aussi parlé des usines d’équarrissages, où les animaux sont transformés en précieuse huile à faire du savon pour le bénéfice de la société. (Ces citations sont approximatives, de mémoire). Parler de tout ça n’était pas anodin pour un éveilleur d’âmes comme Gurdjieff. La monstruosité du modernisme sans âme transparaissait déjà à son époque.] C'est seulement en adoptant une nouvelle philosophie qui célèbre l'existence de la conscience, de l'esprit, de l'âme et du libre arbitre que nous, en tant qu'espèce, pouvons espérer atteindre la sagesse et la paix. C’est seulement en valorisant la vie que nous pouvons espérer l’entretenir.

C'est seulement en reconnaissant la souffrance d’autrui que nous pouvons espérer y mettre fin. C’est seulement en abandonnant le vide insensé des fondements de la science moderne que nous pouvons espérer mettre fin à la destruction qu'elle a déchaîné sur notre monde. Prochaine étape du progrès humain : changer de philosophie Les vraies solutions aux problèmes de notre monde, voyez-vous, ne se bornent pas à exiger l'interdiction des OGM ou de quelques pesticides chimiques.

Elles exigent un renouveau philosophique intégral, faisant passer la compréhension humaine de l'ère newtonienne dépassée à l'« ère quantique » de la conscience humaine et animale. En d'autres termes, la prochaine étape de notre évolution ne viendra pas du tout du domaine de la science, mais plutôt du domaine de la philosophie. Sans cette évolution de la compréhension, et les changements au cœur des valeurs humaines qui en découleront, nous n’acquerrons jamais une existence viable en tant qu'espèce.

Si nous considérons la « science » comme notre plus grand maître et instructeur, elle nous mènera seulement à nous détruire nous-mêmes. Car la science n'a pas d'âme. Pas d'esprit. Pas de facultés spirituelles. Ce n’est qu’une coquille mathématique vide, dénuée de sens. Elle n'a plus rien à offrir à notre civilisation tant que nous n’aurons pas une mansuétude plus profonde envers l'empathie, la conscience et le libre arbitre. Car c’est à cette condition seulement que nous pourrons espérer bien comprendre et appliquer les sciences en protégeant la vie au lieu de la détruire.
 

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